Week-end à vélo

Description

1er jour

 

on attend le résumé...

 

2ème jour

 

Eloïse et moi avons rejoint le groupe à l’Hôtel de la Vue des Alpes. Les enfants étaient ravis d’avoir fait de la luge d’été mais c’était trop tard pour nous. L’installation dans les dortoirs s’est faite comme d’habitude, tous les enfants voulant dormir dans le haut des lits à étages et les non ronfleurs essayant de trouver des places au calme.

Douche suivie d’un repas autour d’une immense table. François, qui est venu faire le chauffeur pour la journée, est déjà reparti à Gimel. Merci François pour ton coup de main ! Menu excellent, copieux et apprécié de tous. Musique d’ambiance grâce à la soirée dansante de la Vue des Alpes. Beaucoup de rigolade et même la visite de Marianne, montée depuis La Chaux-de-Fonds, et Jean-Luc, ancien membre du ski-club.

Après une excellente soirée, on sent que les organismes sont tout de même fatigués et chacun va se coucher sans traîner.

Dimanche matin, réveil de bonne heure. Tiens ! On dirait qu’il y a une petite gelée. Brrr !

Petit déjeuner pour se mettre en forme et c’est déjà le moment de partir. 

Première étape : Vue des Alpes – Savagnier. Youpie, ça descend ! Mais mince alors, ça descend même assez raide et on ne peut pas se lâcher. Comme on va vers l’Est et que le soleil se lève, toute la route est à contrejour et il faut faire très attention. On ne voit même pas les trous dans le goudron. Pour les vallons où il faut pédaler, c’est un régal. Nous passons dans des endroits très tranquilles et verdoyants et admirons quelques belles fermes jurassiennes.

Deuxième étape : Savagnier – Le Landeron. Comme on a pris du retard (à la descente !), une seule solution : zapper la montée. Vu le pourcentage, ce n’est pas plus mal. Les mieux entraînés nous emmènent ensuite jusqu’au Landeron, en passant par Lignières.

Troisième étape : Le Landeron – Ins. Cette fois, ce sont les enfants qui pédalent, accompagnés par leurs parents et entourés de quelques adultes. Nous entrons dans la campagne bernoise.

Quatrième étape : Ins – Cudrefin. Encore une étape pour nos jeunes. Il s’agit de suivre les pistes cyclables, là où les véhicules ne peuvent pas circuler. Et c’est à ce moment que le vélo d’Edgar décide de crever. Téléphone de Laurent. Retour du véhicule à Ins. Récupération de Laurent, revenu pour indiquer l’itinéraire. On retrouve Edgar qui nous attend devant une jolie ferme, mais on n’a plus le droit de circuler en voiture plus loin. Retour encore une fois à Ins et on reprend l’itinéraire officiel des véhicules pour retrouver tous les autres qui entretemps sont bien sûr arrivés à Cudrefin. Ouf ! Quelle aventure !

Cinquième étape : Cudrefin – Estavayer-le-Lac. Des routes extra le long du lac, à l’abri de la grosse circulation. Quelques passages non goudronnés, mais cela va quand même, ils ne sont heureusement pas longs. On a de la chance, il fait super beau mais pas trop chaud. Beaucoup de monde à vélo ou en balade sur ces petites routes.

PIQUE-NIQUE. On s’installe dans une place de pique-nique que nous avions déjà utilisée lors d’un autre week-end. Grand avantage : on sait déjà où sont les toilettes. La gent féminine s’y rend à la queue leu leu, mais pas question de s’attarder, il faut tenir l’horaire.

Sixième étape : Estavayer-le-Lac – Bavois. On remet les rapides sur les vélos et hardi la digestion ! Passage par Yvonand, Yverdon, Ependes et 
Chavornay. C’est la plus longue étape de la journée, mais elle est bien roulante. L’occasion pour ces messieurs de se tirer un peu la bourre !

Septième étape : Bavois – Dizy. Une étape au cours de laquelle, si mon souvenir est bon, il y a entre La Sarraz et Dizy une montée dont on se souviendra. 

Huitième étape : Dizy – Colombier. A nouveau des jolies routes pour les enfants et tous ceux qui préfèrent les routes faciles. Il y des jeunes qui sont maintenant très rapides à vélo, et cela stresse un peu certains parents. Mais ces gamins maîtrisent quand même bien la situation.

Neuvième étape : Colombier – Bussy. Encore une étape « jeunes » et dames. On sent qu’on se rapproche. Certains commencent à fatiguer. Il faut aussi garder des forces pour la dernière montée.

Dixième étape : Bussy – Gimel. Dernière étape, mais pas la moins difficile. Et il ne reste pas beaucoup de volontaires… Bravo aux deux valeureux qui ont fait l’effort ! 

Regroupement des troupes à la Place de la Vernette. Il faut encore monter aux Baumettes, nettoyer les véhicules, et… terminer les pique-niques en se remémorant ces deux magnifiques journées. Reste ensuite à Eric B. et Laurent à laver les véhicules, faire le plein, ramener le Peugeot devant l’entreprise Debonneville (merci pour le prêt) et le gros bus à L’Isle.

Inutile de préciser que le dimanche soir, on se couche sans effort et que le lundi est en général utilisé à faire passer les courbatures.

Merci à Laurent et Eric pour l’excellente organisation. On va essayer de s’entraîner mieux pour la prochaine fois !... (parole de mauvaise cycliste).

Sylvette
 

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